Stage jeunes à Briançon

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Du 14 au 17 février, le club orga­nise un stage en par­te­na­riat avec le club de Briançon. Retrouvez sur cette page les aven­tures d’Alice, Faustine, Mathias et Thomas, enca­drés par Gaël et Ludivine !

 

Jour 1

Départ aux aurores, 6 heures… euh 8 heures presque pétantes, en route pour la neige et les cour­ba­tures de Briançon.
Le voyage s’ef­fec­tue en musique, dans la bonne humeur et avec moult devi­nettes pour pas­ser le temps.
Arrivés sur les lieux à 11h30, à peine le temps de goû­ter la tem­pé­ra­ture polaire qu’il faut déjà revê­tir le short. Bonjour amis revers et autres smash, c’est par­ti on se met au bou­lot et on man­ge­ra après !
13h30 ouf, un peu de répit pour nos jambes engour­dies, on se ras­sa­sie et on se repose comme on le peut, parce la suite pro­met d’être intense et sportive.
Bizarrement notre intui­tion ne nous avait pas trom­pée, la suite était pire. Le ter­rain de bad­min­ton n’a plus de secrets pour nous, nous en connais­sons les moindres recoins.
17h sonne la déli­vrance pour nos pauvres petits muscles sans défenses. En route pour le gite, une douche et un bon repas bien mérité.
Mathias pré­fère gar­der ses forces et se repo­ser, pen­dant que nous nous par­tons à la conquête des envi­rons en évi­tant tant bien que mal les boules de neige volantes.
22h30, tout le monde au dodo, Morphée a eu rai­son de nous.
Résumé de la jour­née en image.

 

Jour 2

Houlà, le réveil fait mal ce matin : 7h45, le coq a lâché son cri. Après un bon petit déjeu­ner, nous par­tons retrou­ver nos amis Briançonais avec le soleil. Un temps clair, un ciel bleu, c’est tout ce qu’il fal­lait pour pas­ser la jour­née… dans le gymnase.

Et c’est par­ti pour 7 heures sur les ter­rains de bad, à se décou­vrir de nou­veaux muscles…

Séance qui a gagné en inten­si­té ce jour, mais nos ath­lètes de haut niveau ont rele­vé avec brio tous les défis de la journée.

17h, fin de jour­née bien méri­tée, on part tous ensemble se vau­trer dans la neige et goû­ter aux joies de la glisse : c’est l’heure de la ses­sion luge. 5H de mon­tée, 3 secondes de des­cente, bref les joies de la luge.

Retour au gîte pour reprendre des forces : chi­li con carne au menu. Faut croire que les odeurs de pieds et de trans­pi­ra­tion ne suf­fi­saient pas… Avec tous les gar­çons dans la même chambre, la nuit s’an­nonce longue.

On ter­mine cette jour­née autour d’un jeu de socié­té pour rigo­ler une der­nière fois. Puis au dodo, le réveil de demain s’an­nonce une fois de plus bien douloureux…

 

 

Jour 3

Le réveil est tou­jours aus­si dur. A croire que les nuits se rac­cour­cissent plus vite en mon­tagne ! 7H45 finit de ron­fler pour Thomas, Mathias et Ludivine !! 7H46, Ludivine se ren­dort… Difficile de réveiller Faustine qui dor­mait au centre de son oignon. 8H, nous voi­là tous levés et d’at­taque pour la jour­née… Enfin peut-être après le petit déjeuner.

Finalement le fait de man­ger n’au­ra pas réveillé les bêtes !! La route jus­qu’au gym­nase se passe tou­jours sous un soleil flam­boyant, nous avons inno­vé avec une petite danse dans le mini­bus et une arri­vée en force et enfin moti­vés dans le gym­nase (ceci aura tout de même duré 5 secondes).

Après une mati­née de simple, tous les aurio­lais ont féli­ci­té Thomas pour sa vic­toire contre un gar­çon légè­re­ment pénible. Nous notons aus­si le cou­rage de Ludivine pour oser s’op­po­ser aux petits cham­pions, elle les a écra­sés. Les petits muscles de nos cham­pions ont encore étaient mis à rude épreuve.

Fin de la jour­née à 15h30, enfin un petit repos bien méri­té. Nous cou­rons au mini­bus pour pas­ser à l’ac­ti­vi­té sui­vante, une chasse au tré­sor impro­vi­sée. Le tré­sor : les clés du mini­bus !!!!! Lulu a gagné le gros lot, elle l’a trou­vé dans le sac de Gaël qui l’a­vait, selon ses dires, entiè­re­ment vidé et fouillé de fond en comble.

Nous pou­vons enfin aller visi­ter le vieux Briançon ; une belle cita­delle datant d’une vieille époque. Après une visite fur­tive de ce lieu, nous déci­dons d’al­ler faire de la luge. Il est donc par­fai­te­ment logique de nous retrou­ver autour d’un cho­co­lat chaud Italien. 18h30 les odeurs com­men­çant à être fortes, nous déci­dons de ren­trer au gîte afin d’y prendre une bonne douche sous la voix auto­ri­taire de Ludivine.

Ce soir grand évé­ne­ment, nous avons réus­si à finir tous les plats du dîner. Bizarrement c’é­tait une tar­ti­flette. 21h30 tout le monde s’en est ali­té (sauf Faustine qui, ne com­pre­nant pas le mot, s’est cou­chée à 22h00).

Demain nous rêvons tous de la sor­tie raquette puis de la grosse jour­née match et enfin du triste retour à la réalité.

WARNING : Gros évé­ne­ment demain. Mathias ne res­pec­tant pas l’au­to­ri­té natu­relle de Ludivine, il se fera cor­ri­ger sur le terrain 🙂

 

The last day

Houlala le coq est bien mati­nal pour ce der­nier jour de stage, nous voi­là donc levés à 7h. C’est donc moti­vés que nous nous habillons pour aller faire la balade en raquette. Les 20 mètres qui nous séparent du petit déjeu­ner ont eu rai­son de toute notre GRANDE moti­va­tion, la déci­sion a été prise d’an­nu­ler la balade afin de se repo­ser et de jouer aux cartes. 

Après plu­sieurs accu­sa­tions de tri­che­rie entre Mathias et Ludivine nous déci­dons de plier bagage et d’al­ler nager dans l’or blanc. Un duel sans règle et sans pitié s’est dérou­lé sous nos yeux impuis­sants, Mathias sort vain­queur face à Ludivine en lui fai­sant man­ger la neige. La légende dira que, si nous n’é­tions pas pris par le temps Ludivine serait sor­tie lar­ge­ment vain­queur, mais ceci est une autre histoire…

11h30 nous voi­là arri­vés au gym­nase tou­jours sous le soleil et remon­tés comme des res­sorts. La consigne pour cette jour­née de matchs : aucune défaite ne sera tolé­rée, il faut tout de même mon­trer qui sont les patrons ! Tous nos cham­pions ont repous­sé une der­nière fois leurs limites et ont don­né le meilleur d’eux même en allant jus­qu’à créer la sur­prise ! La pres­ta­tion de Thomas sur ses simples nous alarme sur une pos­sible attaque aux som­ni­fères, les tests disent que son eau était nor­mal mais le doute per­siste… Affaire à suivre.. 

Après l’ef­fort, le récon­fort ! Nous voi­là autour d’un goû­ter offert par les mon­ta­gnards. Pas le temps de trop s’at­tar­der, l’ap­pel de la route se fait sen­tir. Afin de pou­voir res­pi­rer pen­dant le tra­jet,  un saut au gîte pour une douche éclaire s’impose. 

La fon­due savoyarde à Tallard pour cou­per le tra­jet en deux et rem­pla­cer toutes les graisses per­dues est votée à l’u­na­ni­mi­té.  Nous finis­sons la route pour rendre nos petits cham­pions à leurs parents (enfin !! pour Gaël, mais Ludivine verse quelque larmes..) 

C’était un très bon stage et nous espé­rons remettre ça un jour !!! 

FIN

 

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